Les candidats déclarés à la présidentielle en République Démocratique du Congo (RDC) expriment leur inquiétude face aux violences qui perturbent la campagne électorale.
Moïse Katumbi et Matata Ponyo demandent à la Mission de l’Organisation des Nations unies pour la stabilisation en RDC (Monusco) un dispositif sécuritaire adapté pour la protection des candidats. Ils appellent également à une enquête pour identifier les auteurs et commanditaires des violences commises ces derniers temps. Cette réaction fait suite à l’attaque subie par le député Delly Sesanga, candidat à la présidentielle, et à son équipe à Kananga.
Les candidats estiment qu’il est important que la liberté d’expression et le droit de libre circulation soient respectés, garanties par la Constitution et les lois de la République ainsi que par les instruments juridiques internationaux ratifiés par l’Etat congolais.
Placide Lukeka