On se croirait dans un film de science-fiction où une blague de mauvais goût taguée pour amuser la galerie et qui finit par être pris au sérieux.
On ne peut pas en dire assez sur cette rumeur cousue de toute mauvaise foi sur le Prophète Joël Francis Tatu et sa femme Simiane Tatu par les ennemis de l’évangile en Afrique.
Le Rôle déplorable des médias et leurs réalités !!
Pour ceux qui ne le savent pas, c’est le temps de le savoir, dans la conquête d’une visibilité sur les réseaux sociaux, certains responsables des médias en mal de positionnement dans le panorama médiatique africain créent, par mauvaise foi, des histoires qui font dormir debout simplement pour attirer une clientèle sur leurs pages. C’est le cas notamment des médias comme 241 Gabon, Funny Gabon et certains médias congolais qui font du plagiat sans se soucier d’approcher la cellule de communication du Prophète Joël Francis Tatu.
La nécessité de rétablir les faits !
Il faut dire que les faits demeurent sacrés et que la parole est libre. Ce principe est d’autant valable pour les professionnels des médias dans l’exercice de leur profession. D’où la nécessité de rétablir les faits dans leur contexte.
La réalité qui bouche le mensonge !
Voici les raisons de l’absence du prophète Joël Francis Tatu et Simiane au lancement du réseau Leadership pour Christ à Abidjan
Contrairement aux rumeurs qui ont circulé depuis 7 jours sur les réseaux sociaux, le Prophète Joël Francis Tatu et son épouse Simiane Tatu n’ont pas été expulsés en Côte d’Ivoire où ils étaient attendus depuis le mercredi de la semaine antérieure .
En effet, le prophète congolais Joël Francis et Simiane Brahy devraient animer une conférence pour le lancement d’un réseau des leaders chrétiens à Abidjan le 12 octobre dernier, mais le couple Tatu ne s’est jamais présenté au lieu de l’événement.
Qu’est-ce qui s’est réellement passé ?
Selon l’équipe de la communication de l’homme de Dieu, le couple Tatu devrait prendre son vol pour Abidjan en provenance de Kinshasa via Brazzaville, mais s’est finalement arrêté en cours de chemin après s’être rendu compte que les organisateurs de l’événement n’avaient pas fait le nécessaire pour leur accueil à l’aéroport Félix Houphouet Boigny.
Depuis ce rendez-vous manqué, aucune communication n’a été faite à ce sujet, mais l’événement s’est bien déroulé sans le couple Tatu.
Interpellation des médias africains !
Dans le contexte de cette fausse rumeur à l’endroit de l’homme de Dieu, le Prophète Joël Francis Tatu, une interpellation aux hommes des médias demeure une nécessité.
La consommation médiatique a un effet positif d’ouverture au monde et d’apports de connaissances.
Cependant, il faut rester attentif à l’usage que l’on en fait. Il est préférable de pouvoir en discuter avec d’autres, avec la famille.
Il est important de garder un esprit critique et accorder à chaque information sa propre valeur.
La Fonction des médias !
Avec l’expansion de l’évangile de Jésus dans le monde entier et particulièrement en Afrique, le média répond à la fonction de détente, mais aussi à celles d’information et de compréhension de la société. Le rôle premier des médias est et reste, effectivement, de transmettre de l’information et de représenter un miroir des activités et modèles culturels en place.
Notre société actuelle, marquée par les nouvelles technologies, est caractérisée par le changement perpétuel et l’augmentation permanente des choix possibles (marché, consommation). Les médias en présentent le reflet. Ils permettent de se tenir au courant.
Halte à l’intox !
Sur les réseaux sociaux, les ennemis de l’évangile utilisent cette voie afin de discréditer sans raison les serviteurs de Dieu, le cas du Prophète Joël Francis Tatu.
Avec l’augmentation des mensonges de tous côtés (médias, télévision, radio, Internet), a-t-on encore le temps de s’inventer un monde intérieur pour réfléchir ?
La prolifération des mensonges, via le fait de raconter la vie des autres et de diffuser ses sentiments (téléréalité, autobiographie), risque-t-elle de mettre à mal l’imagination, l’invention ?
Que les médias populaires et internautes prennent conscience d’un côté comme diffuseurs et de l’autre côté comme destinataires.
Rédaction