Kinshasa | Le professeur Jean Eloho Omokoko salue les innovations de la ministre de l’ESU dans l’enseignement supérieur

La rentrée académique 2024-2025 a été lancée ce lundi 28 octobre par la ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire, Marie-Thérèse Sombo. Partout à Kinshasa et dans le pays, les étudiants ont repris le chemin des amphithéâtres. Parmi les établissements qui ont accueilli cette nouvelle année scolaire dans le respect du calendrier officiel, l’Institut supérieur des Arts et Métiers (ISAM) se démarque une fois de plus.

Face aux journalistes, le Professeur Jean Eloho Omokoko, secrétaire général chargé de la recherche scientifique à l’ISAM, a salué cette rentrée académique tout en soulignant les avancées apportées par la ministre Sombo dans le secteur de l’ESU. Ces innovations, selon lui, sont en phase avec la vision du chef de l’État, Félix Tshisekedi, qui place l’éducation au centre des priorités nationales.

Selon le Professeur Omokoko, le respect du calendrier académique est primordial pour notre institution. Il a rappelé que l’ISAM faisait partie des rares institutions qui respectent scrupuleusement leurs engagements. Cette discipline dans la gestion du calendrier s’accompagne d’une détermination accrue du corps professoral, sans arriérés de cours, pour former des jeunes prêts à créer des emplois plutôt qu’à les chercher.

À l’ISAM, la recherche scientifique est une priorité, car elle constitue le socle de toute université. Le Professeur Omokoko a rappelé que la recherche, l’enseignement et la résolution des problèmes de la société sont les trois missions fondamentales de toute institution universitaire. Pour l’avenir, il espère que l’initiative de l’école doctorale collective, réunissant l’ISAM, l’Institut national des Arts et l’Académie des Beaux-Arts, prendra forme pour renforcer la recherche et la qualité de l’enseignement.

La formation des enseignants reste un défi crucial, a ajouté le Professeur Omokoko. C’est un enjeu majeur pour assurer une relève compétente dans les institutions de formation artistique. Pour répondre aux besoins du marché, l’ISAM a également élargi son offre avec de nouvelles options dans la mode et l’esthétique.

 

BASILE MUYA

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