Les réseaux sociaux, nouveau centre de règlement des comptes politiques, a trouvé une nouvelle victime, le Professeur Taylor Lubanga. Depuis un certain moment, cet Éminent avocat à la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe est cité, sur ces plateformes, comme l’un des facilitateurs d’une prétendue spoliation du Temple de l’Église du Christ au Congo (ECC) par le Président du Sénat, l’Honorable Bahati Lukwebo.
Des journalistes militants, sous couvert de certains médias en ligne partisans, semblent être à la manœuvre.
Face à ces délits informationnels, le Professeur Taylor Lubanga, qui est également chargé de mission du Chef de l’État, a réagi pour recadrer ces journalistes manipulés.
“Le fait pour un individu d’adresser une correspondance au chargé de Mission du chef de l’Etat, constitue la preuve de son implication ? C’est au Professeur Taylor d’apprendre au congolais à quelle autorité doivent-ils s’adresser ? Je connais les auteurs intellectuels et matériels de cet article. Ils vont fouiner partout, ils ne trouveront jamais la moindre implication illégale dans mon travail. Très professionnel et responsable. En revanche, pour eux les preuves sont éloquantes et le monde le sait. Bien plus, l’attachement du rédacteur aux fibres politico-sociologues des hommes politiques bien connus, nous sert de preuve patante, en dehors de tout doute raisonnable, de la cassette commandée”, a-t-il déclaré.
Il sied de noter que le code de déontologie des journalistes exige d’eux la stricte honnêteté dans leur profession. À moins de vouloir tomber dans l’infox, c’est-à-dire la publication des fausses informations, sujette à des poursuites judiciaires, le chevalier de la plume doit, chaque fois, vérifier ses sources.