Desormais ancien ministre délégué à la défense nationale, Sylvain Mutombo s’est réfugié ce lundi 10 ocrobre, dans une émission animée par le journaliste Peter Tiani sur la chaîne Perfect Télévision pour calomnier et salir gratuitement la réputation du Professeur Taylor Lubanga.
En effet, Sylvain Mutombo a insinué qu’un Professeur des universités et Chargé de mission du Chef de l’Etat, serait en train d’intimider des magistrats et faire le trafic d’influence au nom du Chef de l’Etat pour influencer les décisions judiciaires. L’ancien membre du gouvernement FCC-CACH a délibérément porté atteinte à l’image du Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi Tshilombo, sachant bien qu’il ne s’immisce pas dans les affaires judiciaires. En outre, ces propos ternissent également les magistrats qui méritent respects et considérations.
Taylor Lubanga est le professeur chargé de Mission du chef de l’Etat, cible de cet ancien ministre. Jeune Professeur des Universités et Expert Formateur au prestigieux Barreau de Kinshasa Gombe, ce brillant Conseiller du Président maîtrise la délicatesse et la sensibilité de la magistrature. Dans sa carrière, il n’a jamais affiché pareil comportement envers les magistrats lesquels sont, par ailleurs, des proches avec lesquels il entretient de bonnes relations depuis qu’il était conseiller du Ministre de la justice, Luzolo Bambi entre 2008 et 2012.
Pour plusieurs, cette sortie médiatique de Sylvain MUTOMBO vient confirmer un sentiment de haine développé à l’égard de certains collaborateurs du Chef de l’Etat dont le Professeur Taylor LUBANGA fait partie.
Le concerné, le Professeur Taylor LUBANGA, ayant pris connaissance de ces propos, a estimé que l’infortuné n’est pas éligible au débat de son étage. Il l’accuse, à cet effet, d’un déficit criant de civilité Républicaine. À une occasion future, il éclairera l’opinion sur les réelles motivations de cette agitation dont les mobiles sont lointains.
Un constat est fait. Sa brutalité, le cortège exagéré, les menaces à l’égard des agents de l’ordre, l’incompétence et conflits, ont justifié son évacuation du gouvernement Sama Lukonde.
Rédaction