Accusé d’avoir congédié le personnel féminin de son cabinet, l’Honorable Isaac Jean-Claude Tshilumbayi trouve ridicules ces affirmations

Depuis Genève, où il est en mission de service, le Premier Vice-président de l’Assemblée nationale, Isaac Jean-Claude Tshilumbayi, a pris la parole pour répondre aux accusations qui circulent sur les réseaux sociaux.

En ligne avec Joël Cadet Ndanga, journaliste au Bihebdo Impact News, l’honorable a tenu à mettre les choses au clair face à ce qu’il appelle des « terroristes du clavier ».

D’après ces rumeurs, le Premier Vice-président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Tshilumbayi aurait, sous la pression de son épouse, renvoyé tout le personnel féminin de son cabinet. En plus de cette allégation, il est accusé de ne pas cotiser dans son parti, l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS). Mais pour lui, tout cela n’est que pure invention.

« Ce sont des affirmations très ridicules pour des individus qui se font passer pour des journalistes », a-t-il affirmé.

Et de renchérir :

« Moi, je pensais qu’à l’Université, on apprend, et que pour des professions comme la presse, il y a des enseignements de critique historique qui pouvaient former et dresser des journalistes », a-t-il ajouté.

Pour le professeur Tshilumbayi, ces fausses informations relèvent davantage de la calomnie que du journalisme. Il rappelle que la profession devrait être guidée par la recherche de la vérité et la rigueur intellectuelle, pas par des rumeurs infondées.

 

ESPÉRANT DANIEL KAMBULU

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