Organisé par l’ONG “Action pour la Paix et la Concorde” (APC) et financé par Interpeace, le dialogue social sur les causes de non-prise en compte des femmes dans les organes décisionnels a débuté ce mardi 27 septembre à Kamonia dans la province du Kasaï.
Plusieurs catégories d’acteurs de paix, d’organisations privées et publiques se sont réunies au tour d’une table à Kamonia, chef-lieu du territoire de Tshikapa pour discuter de leurs problèmes et trouver des pistes de solutions quant à ce.
C’est l’administrateur du territoire de Tshikapa, Jean-Paul Kuzo, qui a donné le go de ce dialogue.,
Dans sa prise de parole, Jean-Paul Kuzo a fait savoir que le thème autour duquel le dialogue s’organise est très important et tombe à pic.
De ce fait, il a appelé les participants à définir de très bonnes pistes de solutions pour que la femme intègre toutes les instances de prise de décision afin que sa présence joue un rôle important dans le processus de la paix au même titre que l’homme. Il est au moins d’avis que la femme joue un rôle très important dans le processus de consolidation de la paix, malheureux, ignoré par nombreux.
De son côté, l’administrateur de territoire a fait savoir qu’il avait déjà commencé à intégrer les femmes dans ses différents services. C’est notamment le bureau de genre et famille, géré par une femme.
En outre, l’administrateur du territoire de Tshikapa réitère son engagement de continuer à intégrer les femmes dans d’autres instances, sur lesquelles, il a le pouvoir.
Franck Tshilomba