Soucieux de faire la quête afin de comprendre ce qui pourrait être et faire le prix du bonheur d’un enfant orphelin, l’auteur de cet ouvrage, M. Elisée Kalonji Nkolela, Philanthrope et Président de la Fondation Eurêka soutient le Bonheur, aborde cette épineuse question qui nous traverse tout l’esprit à savoir : comment font les orphelinats pour vivre ?
Dans un entretien exclusif accordé à sasastudio.net ce vendredi 30 décembre, avant-dernier jour de l’année 2022, le philanthrope Elisée Kalonji Nkolela estime que “Le prix du bonheur d’un orphelin” qui sera son premier ouvrage sur le marché est, à la fois, un récit autobiographique de l’auteur et son regard vis-à-vis de la condition des orphelins et des enfants abandonnés.
“Pourriez-vous sûrement vous demander, d’une part, qui sont réellement ces enfants vulnérables ? Et d’autre part, comment leur venir en aide ? Dans quelles conditions vivent-ils réellement ? Après un long moment de réflexion, ayant côtoyé et exerçant dans l’encadrement des enfants orphelins, j’ai eu l’honneur de mettre à contribution mon expérience à travers cet ouvrage intitulé : “Le prix du bonheur de l’orphelin”, contenant ainsi modestement un bon nombre d’idées, un bref aperçu sur les conditions sociales de ces enfants ainsi que quelques résolutions, pouvant rencontrer le besoin de tous en rapport au sujet”, explique l’auteur.
Pour Elisée Kalonji, cet ouvrage exploite un thème sensible et humanitaire comprenant quelques faits autobiographiques. Il va ainsi être sur le marché pour le bonheur de tous et particulièrement des amoureux de la lecture ainsi que de l’humanitaire.
À en croire Elisée Kalonji, l’achat de chaque exemplaire de ce livre est une aide hors-de-prix à l’endroit de ces orphelins, car la plus grande part sera destinée aux enfants orphelins.
D’un regard historique, l’auteur s’était lui-même retrouvé dans une situation familiale inconfortable et s’est plusieurs fois rendu compte à travers son vécu, le cauchemar que les orphelins abandonnés traversaient. Il commença très tôt en faire son cheval de bataille.
“Nous visons, par cet ouvrage, de réveiller la conscience collective afin d’agir de mieux en mieux pour la cause des moins privilégiés. Vous trouverez, dans cet ouvrage, l’expression et les sentiments qui traversaient notre esprit pendant cette période de vache maigre que nous avons vécus avec notre génitrice qui, par son travail, nous a fait échapper à ce style de vie des enfants de la rue et des orphelins abandonnés”, lâche-t-il.
À Elisée Kalonji de conclure :
“Si nous ne joignons pas notre main d’association à ces entités-là qui œuvrent dans l’encadrement et l’éducation des orphelins, notre inaction ne serait pas différente d’un sabotage. Par la quête vers du bonheur des orphelins, nous plaidons ici pour ceux dont la voix n’est pas assez pris en compte”.
Comme le dit un proverbe turc, “l’orphelin qui se coupe tout seul se suffit à lui-même !”
Henry Ngindu